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ISBN : 978-2-915083-01-0
Catégorie :

Mingus, Cuernavaca

Enzo Cormann

8.00

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Enzo Cormann, né en 1953, est sans doute l’auteur de théâtre contemporain de création français le plus joué aujourd’hui avec Bernard-Marie Koltès. Principalement édité, depuis vingt ans, par les Éditions de Minuit (où il a fait paraître Cairn, donnée en mai-juin 2003 au théâtre des Célestins à Lyon, dans une mise en scène de Claudia Stavisky), il a écrit à ce jour une trentaine de pièces, composé la musique d’une dizaine d’autres, joué dans plusieurs, mis en scène une petite quinzaine et s’est, dès la fin des années 80, particulièrement impliqué, en tant que récitant-acteur, dans l’aventure de la « Grande Ritournelle » en compagnie et comme en empathie du jazzman Jean-Marc Padovani pour donner, au risque de la scène et de l’improvisation, des jazz poems dont Mingus, Cuernavaca se trouve toujours au sommet. À visiter : www.cormann.net
Livres de Enzo Cormann
Résumé

Ce Tombeau de Charles Mingus est l’occasion, rêvée, inventée, si vraie, d’une longue profération rageuse et désirante de la part du contrebassiste et compositeur dans ses derniers instants, au cœur – sous le volcan – de ce Mexique qui lui fut si cher et où, frappé par la maladie de Lou Gehrig (dégénérescence musculaire), il mourut le 5 janvier 1979 à l’âge de cinquante-six ans. Mingus, Cuernavaca, texte d’Enzo Cormann, l’une des voix majeures de la création théâtrale en France aujourd’hui, a été destiné à la scène, pour un spectacle créé avec Jean-Marc Padovani en 1991. Mettant en fiction l’œuvre et la vision du monde de Mingus, il s’offre comme pur pendant de Moins qu’un chien, la geste autobiographique de l’auteur des Fables of Faubus – rendant au même titre un hommage emporté, aigu, amoureux à sa furia créatrice ; à son sens politique, sa générosité, sa fièvre du discontinu.

Infos pratiques

ISBN: 978-2-915083-01-0
Date de publication : octobre 2003
Nombre de pages : 56 pages

Press reviews:

« Une prose délicate et cinglante, toute en allégorie, parcourt ce tombeau aux accents mallarméens écrit dans l’électricité et le feu des instants musicaux. »
Benoît Laudier, Cahier Critique de Poésie

“Mingus, Cuernavaca”

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