Le beau-livre de la fin d’année : éloge d’une cinéphilie
Le 11 novembre 2020 | 0 Commentaires

Le K inversé de Potemkine est devenu une référence majeure, le poinçon d’un précieux producteur et éditeur DVD. Pour en raconter l’histoire et le parcours cinéphilique, il ne fallait pas moins de 350 pages, 500 images, de nombreux entretiens (Nils Bouaziz, Harmony Korine, David Lynch, Gaspar Noé, Bertrand Mandico, Yann Gonzales, Philippe Rouyer, etc.), le tout complété par les superbes pages de Maxime Lachaud sur le cinéma onirique, hypnagogique, sur les transes audiovisuelles, les trips expérimentaux…

Pour une présentation en images et en musique (celle de Popol Vuh pour Aguirre, la colère de Dieu, le chef-d’oeuvre de Werner Herzog) de cette somme enfiévrée, c’est ici :

Maxime Lachaud sur le film-rêve :

Leave a reply

  • Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.